A propos

1) Au départ, une passion pour l’image

Enfant des années 80, j’ai grandi avec le minitel, les rubixcubes, les premiers cds et les ordinateurs qui avec une cartouche tranformaient ma télévision en logiciel de dessin. Que de « gribouillages » déjà, enfin non, de belles oeuvres mais je n’avais pas de moyen de sauvegarde. C’est dommage, mais c’est comme ça.

En grandissant, j’ai mon premier vrai pc et mon premier vrai logiciel de manipulation d’image. c’est un bonheur ! A mon petit niveau d’auto-didacte, je peux enfin détourer telle ou telle star, ajouter fièrement son nom au dessus grâce à de superbes logos sortis de mon imagination et décider de mettre tout cela sur un fond au dégradé très travaillé, je vous laisse imaginer.

Tout cela est très agréable mais ce n’est pas encore mon métier. C’est à la suite de ma 2nde tentative d’obtenir une maîtrise qui n’a rien à voir avec les arts graphiques que je me lance dans cet univers passionnant.

2) De la passion au métier

En surfant sur le net, je découvre l’existence de formations en graphisme. Je décide d’en suivre une. c’est parti pour Photoshop, Illustrator, Indesign mais aussi Dreamweaver, Flash et Fireworks. Et oui,je parle d’un temps où l’Iphone n’existait pas encore et où énormément de sites étaient faits en flash. Cela permettait de belles animations et on faisait aussi des CD ROM.

Les logiciels, c’est bien mais ce ne sont que des outils pour mettre en oeuvre la conception. Le graphiste ne fait pas que travailler sur ses logiciels et bien des choses interviennent en amont : le brainstorming, le benchmarking, les roughs, les papiers que l’on déchire etc. Cela vaut pour un dépliant, une brochure, autant que pour un site internet, un emailing ou une e-boutique.

Puis je découvre le monde de l’entreprise sous diverses formes : les établissements publics, les agences de communication les annonceurs finaux qui emploient un graphiste deux ou trois ans, puis qui pour des problèmes de budget, s’en séparent plus ou moins élégamment…

3) L’entrepreunariat et le service

Pendant ce temps, entrepreneuriat se démocratise. Auto entreprise, freelance, consultant en portage salarial, tout est bon pour pouvoir travailler directement pour vos projets. C’est une formule qui me va bien : associer autonomie et service. Elle profite aussi au client final qui bénéficie de coûts de production moins élevés, d’une disponibilité que les agences ne peuvent avoir, et du coup, d’une meilleure réactivité, sans parler d’un réelle flexibilité en fonction de ses besoins.

Mon objectif dans cette démarche d’indépendance est de casser la barrière entre mon bureau et votre projet.

4) Et vous dans tout ça ?

Quelle impolitesse, j’ai beaucoup parlé de moi dans cette partie mais je ne vous oublie pas. Vous êtes le porteur de votre projet. Je sais qu’à l’autre bout du la chaîne se trouvent vos clients, votre société ou votre événement. C’est pour cela que je m’investis totalement dans votre problématique afin de vous apporter une totale satisfaction.

Mais ce n’est pas tout ! Mon rôle est aussi de vous conseiller une fois votre site en ligne ou vos dépliants distribués.
Je suis donc votre partenaire communication et vous aide à concrétiser vos objectifs.